samedi 20 octobre 2012

wasn’t so successful



DebatesUnpacking Tuesday Night’s Libya ‘Moment’
By Michael Crowley | @CrowleyTIME | October 17, 2012 |
386TweetinShare.0 
Bruce Bennett / Getty Images
Republican presidential candidate Mitt Romney speaks as U.S.
President Barack Obama listens during a town hall style
debate at Hofstra University October 16, 2012 in Hempstead,
New York. Perhaps the most dramatic moment of Tuesday night’
s debate was the tense exchange over how Barack Obama first
described the September 11 attack on the U.S. consulate that
led to the deaths of four Americans, including U.S.
Ambassador Chris Stevens. The Romney campaign charges that
the White House covered up evidence that the attack was a
premeditated action by an organized jihadist group with al
Qaeda ties–as opposed to a spontaneous anti-American protest
inspired by a video mocking the prophet Muhamad that turned
vicious. Republicans say this cover-up is designed to protect
Obama’s narrative that he has overseen al Qaeda’s virtual
destruction. As Romney foreign policy advisor Richard
Williamson said on Fox News, the Benghazi horror is
“evidence that his so-called success in the war on terror
wasn’t so successful.”
It’s hard to deny a certain mystery in the administration’s
descriptions of the attack. Intelligence is certainly
imperfect and subject to revision, but Obama officials did
cling rather stubbornly to the idea that the video was
principally to blame–that the compound assault was, at
worst, an opportunistic piggypacking off an anti-video
protest–even as evidence mounted that it was not. This left
Mitt Romney with a potentially winning argument going into
last night’s debate: Is the Obama administration shading the
facts to downplay a real and growing terror threat to
Americans?
(MORE: What Happened at the Second Presidential Debate)
Unfortunately for Romney, he botched it. When the moment
came, Romney pinned everything on Obama’s language in the
Rose Garden the day after the attack. And although Romney had
a larger point, he overreached on the specific one. Here’s
the exchange, with non-substantive edits for length and
bolding for emphasis:

jeudi 18 octobre 2012

a banking union at the summit


The euro steadied around $1.3110, after reaching a one-month
high of $1.3140 on Wednesday.
Investors will be cautious ahead of a meeting of European
leaders in Brussels on Thursday and Friday, watching for
possible discussions over bailouts for struggling Spain and
Greece.
European leaders will try to bridge deep differences over
plans for a banking union at the summit, but no substantial
decisions are expected, reviving concerns about complacency
in tackling the three-year-old debt crisis.
Clear decisions on helping Cyprus, Greece and Spain may also
only come at a finance ministers' meeting next month,
officials say.
Asian credit markets firmed marginally, with the spread on
the iTraxx Asia ex-Japan investment-grade index tighter by 1
basis point.
US crude futures were down 0.2 per cent at $91.96 a barrel.
The S&P 500 rose for the third consecutive day on Wednesday
after housing starts hit a four-year high, but the Dow was
weighed down by IBM after it posted weak revenue.
Homebuilders' shares led gains after the Commerce Department
said groundbreaking on new homes jumped 15 percent in
September, the quickest pace since July 2008. The surge in
housing starts was viewed as evidence that the housing
sector's fledgling recovery is bolstering the recovery of the
broader economy.

jeudi 11 octobre 2012

Karabatic : «Les hommes à abattre»

S’il avait posté quelques lignes sur sa page Facebookle soir de sa mise en examen, Nikola Karabatic ne s’était pas exprimé publiquement sur l'affaire des paris truqués. C’est désormais chose faite. Entouré de sa compagne, Géraldine, de son frère Luka, de la petite-amie de celui-ci, l’animatrice TV Jeny Priez, tous trois également mis en cause, mais aussi de sa mère Lala, la star du handball français a accordé une interview à Paris-Match, dans la maison familiale de Castelnau-le-Lez (Hérault). «J’étais sous le choc, confie notamment le Montpelliérain au sujet de l’arrivée des enquêteurs quelques minutes seulement après la fin du choc face au Paris Handball le 30 septembre dernier. Quelqu’un est venu me dire que je partais en garde à vue. J’ai eu le temps de prendre une douche et on m’a mis dans un vestiaire à part. Ensuite, quand je suis sorti du stade, il y avait sur le trottoir des centaines de journalistes présents, des caméramans, des photographes, bien plus que pour notre retour des JO de Londres.» «C’est comme si on allait au bûcher. Tous les regards étaient tournés vers nous, les Karabatic, comme si nous étions les hommes à abattre», ajoute Luka. Interrogé sur son silence d’alors face aux enquêteurs, Nikola Karabatic explique : «C’est un droit. Mais on nous a vite fait comprendre que si on ne disait rien, c’était parce qu’on était coupable. On voulait juste s’expliquer devant le juge en ayant eu accès aux pièces du dossier, pour savoir exactement ce qu’on nous reprochait.» «Les policiers me disaient que mes avocats voulaient se faire une réputation sur mon dos, qu’ils me faisaient faire n’importe quoi en m’ordonnant de me taire, que j’allais tout perdre, que j’irais en prison, que les autres avaient déjà tout balancé… Ils m’ont comparé à un voyou, à un mafieux», dénonce lui Luka. Le cadet de la fratrie reconnaît également avoir parié le désormais fameux match Cesson-Rennes-Montpellier de la saison dernière. «J’ai dit la vérité devant le juge. J’assume tout ce que j’ai fait. Et je suis prêt à payer pour ce que j’ai commis. Mais ce qui me fait le plus mal, c’est qu’on m’accuse d’avoir triché. C’est injuste ! Et ça me révolte ! C’est une connerie. Mais je ne mérite pas d’arrêter ma carrière, de ne plus pratiquer mon sport. J’aimerais retrouver le terrain le plus vite possible, pour garder la tête haute.» Libérés sous caution, mais toujours placés sous contrôle judiciaire, Nikola et Luka Karabatic ont interdiction de rencontrer l'encadrement du MAHB ainsi que les autres protagonistes du dossier.nike pas cher

PSG/Milan : l'agent de Zlatan Ibrahimovic met les choses au point

Alors qu'il s'est montré disponible pour retourner un jour au Milan AC, Zlatan Ibrahimovic a vu son agent Mino Raiola mettre de sérieux bémols à cette possibilité.
« Je souhaite que Milan se redresse. C'est l'un des clubs où je pourrai retourner un jour. C'est un grand club. Aujourd'hui, Milan est un peu moins bien, mais j'espère que tout ira mieux pour eux à l'avenir ». Ces quelques mots prononcés par Zlatan Ibrahimovic hier en conférence de presse ont provoqué un grand émoi en Italie. Les plus fervents supporters du Milan AC se sont mis à rêver du retour du Suédois dans un futur plus ou moins proche. Son agent Mino Raiola est monté au créneau pour expliquer les propos de l'attaquant.
« Zlatan s'est senti parfaitement bien à Milan, mais il n'a fait que complimenter le club rossonero. Pour Milan, il ferait une exception, c'est le seul club dans lequel il a joué où il aurait plaisir à retourner mais parler d'un tel scénario me semble excessif. Il est inutile de faire rêver les supporters, il vaut mieux se réveiller et penser à l'avenir », a-t-il expliqué au micro de la chaîne de télévision italienne Sky Sport. Mais si l'idée d'un come-back n'est pas d'actualité, cette possibilité pourrait peut-être exister, mais bien plus en avant à en croire la suite de l'interview du représentant du Scandinave.
« Au PSG, il a été très bien accueilli et il se sent très bien. Il est heureux en France et n'a pas l'intention de revenir en arrière. Pendant quelques années encore, il sera un top joueur. Il restera certainement au PSG pendant les trois années de son contrat. Il a dit que si un jour, Milan a besoin de lui, il savait où le trouver. Si en fin de contrat, à 35 ou 36 ans, Milan le veut, il pourrait revenir. Il pourrait même faire son retour en tant que dirigeant. Qui sait ? » , a-t-il avoué avant de revenir sur les raisons du départ du natif de Malmö cet été.
« La situation économique en Italie n'est pas très florissante et Milan ne pouvait pas se permettre de conserver un tel (...)nike pas cher